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Le meurtre du commandeur de Haruki Murakami

 

 

 

Genre : roman contemporain

Auteur : Haruki Murakami

Pays : Japon

Traductrice : Hélène Morita

Nombre de pages : 456

Date de publication : 2018

 

Quatrième de couverture

 

Peut-être un jour serais-je capable de faire le portrait du rien. De la même façon qu’un peintre avait été capable de dessiner Le Meurtre du Commandeur. Mais il me faudrait du temps avant d’y parvenir. Je devais faire du temps mon allié.
Quand sa femme lui a annoncé qu’elle voulait divorcer, le narrateur, un jeune peintre en panne d’inspiration, a voyagé seul à travers le Japon. Et puis, il s’est installé dans la montagne dans une maison isolée, ancienne propriété d’un artiste de génie, Tomohiko Amada.

Un jour, le narrateur reçoit une proposition alléchante : faire le portrait de Wataru Menshiki, un riche homme d’affaires. Tandis que celui-ci pose comme modèle, le narrateur a du mal à se concentrer. Quelque chose chez Menshiki résiste à la représentation.

Une nuit, il découvre un tableau dans le grenier, une œuvre d’une grande violence, le meurtre d’un vieillard, comme tirée du Don Giovanni de Mozart. C’est Le meurtre du commandeur.
Cette peinture obsède le narrateur. Et des choses étranges se produisent, comme si un autre monde s’était entrouvert. À qui se confier ? À Menshiki ? Mais peut-il vraiment lui faire confiance ?
Premier livre d’une œuvre exceptionnelle, dans la lignée du monumental 1Q84, un roman somme, ambitieux, profond. Deux tomes pour une odyssée initiatique étrange, inquiétante, envoûtante, où le maître Murakami dévoile ses obsessions les plus intimes

Mon avis

 

Je ne connaissais pas cet auteur et ce livre m'a été proposé dans le cadre d'un comité de lecture. Toujours curieuse de découvrir un nouvel auteur j'ai accepté de lire ce livre et là que dire ?

Je suis restée totalement hermétique à cette histoire. Le thème d'abord. Un homme en cours de divorce accepte de faire le portrait de Wataru Menshiki un riche homme d'affaires. Il loge dans la maison d'un artiste de génie.

Le style ensuite. C'est clairement ce qui m'a posé un problème. L'auteur alterne les longues descriptions qui donnent un rythme lent à l'histoire avec des passages d'introspection et de réflexions sur l'art.

L'univers enfin. C'est justement l'univers de l'auteur qui m'a laissée indifférente. On retrouve du surnaturel, du fantastique avec notamment le personnage d'un tableau qui prend vie sous les yeux du narrateur et lui parle. Mais cela ne me touche pas.

En conclusion, je ne lirai pas le second tome.

 

 

                                                                        Je n'ai pas aimé

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