Genre : roman contemporain
Auteur : Liane Moriarty
Nombre de pages : 411
Date de publication : 2015
Editions : Albin Michel
Mon avis
Cela faisait un petit moment que je souhaitais lire ce roman australien recommandé par la bibliothécaire. C'est chose faite et je ne le regrette pas.
L'histoire se déroule à Sydney et nous raconte une semaine de la vie de plusieurs familles dont le point commun est l'école St Angela.
Cécilia et John-Paul ont trois filles scolarisées à St Angela et aucun problème particulier.
Tess et Will sont mariés depuis plusieurs années et ont un fils Liam scolarisé à St Angela. Ils sont à la tête de leur propre entreprise créée avec Félicity la sœur de Tess. Tout se passe pour le mieux jusqu'au jour où Will et Félicity annoncent à Tess qu'ils entretiennent une relation amoureuse et qu'ils ont décidé de ne plus se cacher. Will va même jusqu'à proposer un arrangement pour le moins "moderne" : "Eh bien, commença Will en rougissant, on s'est dit que, peut-être, nous pourrions vivre tous ensemble. Ici. Pour Liam. Ce n'est pas une séparation comme les autres. Nous formons une ... famille. Du coup, on s'est dit, enfin, c'est peut-être complètement dingue, mais on s'est dit, finalement, pourquoi pas ?" (p.46)
Rachel est secrétaire à St Angela. Proche de la retraite, elle espère que son fils Rob et sa bru Lauren vont lui annoncer la naissance d'un second enfant. Hélas, elle apprend que le couple et leur fils Jacob partent s'installer aux Etats-Unis pour deux ans. Un coup très dur pour cette femme dont la fille, Janie, a été assassinée des années plus tôt.
Un jour, Cécilia trouve une enveloppe dans le grenier. Son mari a écrit : "Pour ma femme, Cécilia Fitzpatrick. A n'ouvrir qu'après ma mort."
Va-t-elle ouvrir cette enveloppe ? Evidemment oui et cela va provoquer une réaction en chaîne qui va faire voler en éclats toute cette micro société. A l'issue de cette semaine rien ne sera plus comme avant.
Ce livre est très agréable à lire. J'ai autant aimé la description des différentes familles que la façon dont l'auteur amène le dénouement.
En conclusion,
J'ai aimé
Emprunté à la bibliothèque de Saint-Georges-sur-Loire
Quatrième de couverture
Tous les maris - et toutes les femmes - ont leurs secrets
Certains peuvent être dévastateurs.
Jamais Cécilia n'aurait dû trouver cette lettre dans le grenier. Sur l'enveloppe jaunie, quelques mots de la main de son mari : "A n'ouvrir qu'après ma mort." Quelle décision prendre ? Respecter le voeu de John-Paul, qui est bien vivant ? Où céder à la curiosité au risque de voir basculer sa vie ?