Tueuses mais pas trop - Stéphanie Mesnier

Résumé

Qui n’a pas souffert de la présence, dans son entourage, d’un odieux personnage ? Supérieur hiérarchique pervers, belle-mère sadique, associé escroc… Comment se débarrasser de ces « encombrants », qui prennent plaisir à pourrir la vie de leur prochain, sans y perdre son âme et sa liberté ?

Quelques femmes - des esprits supérieurs et très inventifs - ont résolu la question. Réunies en une mystérieuse association, elles se consacrent aux cas extrêmes, dans un registre esthétique qui élève le crime au rang des beaux-arts.

Quand vous aurez fait leur connaissance, vous ne parlerez plus jamais de sexe faible.
 

2015    -    Pages 237  -    Editions : Fayard 

Mon avis

Avec "Tueuses mais pas trop", je découvre un auteur Stéphanie Mesnier. Le thème du roman m'a fait sourire et j'ai donc eu envie de lire cet ouvrage.

Dans ce roman on découvre plusieurs couples, tous malheureux.

Audrey Hellis mène une vie vide de sens auprès de son mari George une star de la télé qui ne pense qu'à sa carrière. "Ex-mannequin, ex-star d'un feuilleton à succès, et bientôt ex-présentatrice de l'émission Déco-Mode-Beauté ... ça, elle l'ignore encore, et ce n'est surement pas Georges qui le lui apprendra !" (p. 10)    Audrey est une espèce de trophée que son mari exhibe lorsque ça lui est utile.

Camille Verdier est mariée à Bruno un homme important. Ensemble ils ont un fils Paul. Mariée, mère de famille, riche; sur le papier Audrey a tout pour être heureuse sauf que l'éducation de son fils lui échappe. Sa belle-mère veut gérer seul la vie de son petit-fils et pousse même le vice jusqu'à simuler un accident faisant croire que Camille a failli écraser Paul. Camille est au bout du rouleau.

Les choses vont changer lorsque ces femmes vont intégrer un club créé dans le but d'éliminer les "Encombrants".

Le roman de Stéphanie Mesnier se lit vite et ce que j'ai préféré c'est la galerie de portraits dressée par l'auteur. On y découvre les travers des uns et des autres dans une ambiance qui rappelle un peu "Desperate Housewives". J'ai un faible pour le personnage de soeur Marie-Dolores une nonne qui décide de châtier les prêtres aux comportements inavouables. 

En conclusion

J'ai aimé

Emprunté à la bibliothèque de Saint-Georges-sur-Loire